- Le problème central de la question ouvrière, celui du rapport entre les revendications materielles et les reivindications morales.
- À l'àmélioration des salaires corresponde une nouvelle aggravation des conditions morales du travail.
- La question s'est pas celle de la forme du gouvernement mais celle de la forme du système de production.
- Une société dont le centre serait le travail non servile.
- La Liberté est le rapport entre la pensée et l'action.
- Nous sommes pas des exploités, mais esclaves et opprimés.
- La division en classes ne passe plus aujourd'hui entre ceux qui achètent la force de travail et ceux qui la vendent, mais entre ceux qui disposent de la machine et ceux dont la machine dispose.
- Chercher l'organisation la plus humaine compatible avec un rendement donné.
- Le temps et le rythme sont le facteur le plus important du problème ouvrier.
- Entrevoir une transformation technique ouvrant la voie à une autre civilisation.
- Tout ce qui est reél est soumis à la nécessité: authentique (nature des choses) or aux rapports humains (fausse).
- "...physiquement épuisée, mais moralment endurcie..."
- Lentement, dans la souffrance, j'ai reconquis à travers l'esclavage le sentiment qui ne s'appuyait sur rien d'extérieur cette fois et toujours accompagné de la conscience que je n'avais aucun droit à rien, que chaque instant libre de souffrances et d'humiliation devait être reçu comme une grâce, comme le simple effet de hassards favorables."
- le travail doit tendre, dans toute la mesure de possibilités matérielles, à constituer une éducation.
- Il y a des inégalités naturelles. À mon avis, l'organisation sociale -en se plaçant du point de vue moral -est bonne pour autant qu'elle tend à les atténuer (en élevant), mauvaise pour autant qu'elle tend à les aggraver, odieuse quand elle crée des cloissons étanches.
miércoles, 1 de octubre de 2014
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