sábado, 13 de julio de 2013


Je réclame le droit de croire au lendemain
De croire à la musique au bonheur au décor
Au grand soleil qui fait aux arbres du chemin
Danser pour nous des feuilles d’or.
….
Mes frères son assis dans la raison confuse
Ilos renoncent au jour à la marche à leur but
A la fin le courage et les semelles s’usent
L’homme est ivre sans avoir bu
Eux comme moi tristes jouets de la colère
Et ce que ne soit plus la comète annoncée
Ce qui nous fait tenir nos propos insensés
C’est l’an mil revenu c’est la peur séculaire
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Voir ne suffisait plus à l’homme Il veut saavoir
Mais le siècle et le ciel sont noirs jusqu’à demain
Le chemin qu’une main m’y tienne par la main
Comme un Parti conduit un peuple dans l’histoire
….
Et par contre j’imagine
Que l’habitude c’est le malheur quotidien
….
L’enfer existe Il est la part du plus grand nombre
L’enfer existe Il est ce paysage fou
La résignation des visages à l’ombre
L’espoir tenu pour crime et la vie à genoux
….
Oui j’ai choisi l’enfer en pleine conscience
Oui j’ai choisi mon peup’le et j’ai pris son chemin
Et je souffre avec lui sa même patience
Et mon souffle se mêle à son souffle germain
Mon peuple éveille-les tes frères incrédules
Organise conquiers persuade et dis-le
Les paysans ont droit au soleil qui les brûle
Comme au port les marins les mineurs au ciel bleu.
….
Lorsque j’avais vingt ans pour moi la grande affaire
Était de désapprendre et non d’avoir appris
Il me semblait rouvrir les portes de l’enfer

Par le simple refus du cœur et de l’esprit

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